LE PRÉSIDENT-FONDATEUR:
Dr BOGA Sako Gervais
Boga Sako Gervais est né le 27 décembre 1971 à Divo, le chef-lieu de la région du Loh-Djiboua, dans le Sud-Ouest de la Côte d’Ivoire, en Afrique occidentale française. Il est marié et père de trois enfants.
Pour ses convictions, notamment son attachement aux valeurs des Droits de l’Homme, ainsi qu’au respect de la souveraineté et de la Constitution de son pays, Boga Sako Gervais a été contraint de s’exiler dès la survenue de la crise post-électorale de 2010-2011.
En effet, les partisans de M. Alassane Ouattara qui étaient soutenus par la communauté internationale, lui reprochaient d’avoir pris position en faveur de M. Laurent Gbagbo, parce que, en tant que Militant des Droits de l’homme, il a soutenu que la décision du Conseil constitutionnel proclamant les résultats définitifs du scrutin présidentiel de 2010 devait être respectée. Boga Sako Gervais martelait partout sur les plateaux télés, la formule latine : « dura lex, sed lex », c’est à dire, la loi est dure, mais c’est la loi !
Aussi, à travers les émissions à la radio-télévision ivoirienne (RTI) où il était souvent l’invité, Boga Sako accusait-il directement l’ONU et la France d’avoir violé la souveraineté de la Côte d’Ivoire en méprisant le Conseil constitutionnel ivoirien et en préconisant une solution militaire, armée, à cette crise électorale, donc politique.
De même, le Défenseur des Droits de l’Homme s’élèvera contre certaines mesures de la communauté internationale visant à asphyxier le régime d’alors et contraindre ainsi le Président de la République Laurent Gbagbo à quitter le pouvoir, à savoir la fermeture des banques et l’embargo sur les médicaments, qui ont causé des dizaines de morts au sein de la population civile.
Dès lors, les bureaux de son organisation des Droits de l’Homme, la FIDHOP, furent attaqués et saccagés par deux fois, en mars, puis en avril 2011, et Boga Sako Gervais reçut aussi plusieurs messages de menaces de mort. Sortir de la Côte d’Ivoire pour s’exiler était alors l’option salvatrice et un salut, pour vivre et continuer de dénoncer les injustices, les illégalités et les violations des Droits de l’Homme qui ont régulièrement cours dans le pays.
Mais après l’arrestation du Président Gbagbo le 11 avril 2011, Boga Sako était parvenu à braver la peur, en répondant au nom de son ONG à une invitation du cabinet du nouveau Chef de l’Etat Alassane Ouattara reconnu par la communauté internationale, pour assister à une cérémonie de lancement de trois journées de deuil national que ce dernier avait décrétés, du 17 au 19 mai 2011, juste avant son investiture qui était fixée au 21 mai à Yamoussoukro. C’est suite à cette cérémonie qui se déroula sur l’esplanade du Palais présidentiel, en présence des principaux chefs rebelles, que Boga Sako Gervais acta sa décision de sortir du pays pour s’éviter le pire.
Ainsi, grâce à un visa obtenu de façon expresse de l’ambassade d’Italie en Côte d’Ivoire, il embarqua miraculeusement pour Milan, en Italie, dans la nuit du 10 juin 2011, après une brève escale de trois heures à Casablanca.
En dix années d’exil, de 2011 à 2021, grâce aux nombreux livres qu’il a publiés et avec la multitude de conférences, des émissions télévisées ou radiodiffusées qu’il a animées à travers les grandes capitales européennes et aux Etats-Unis, quasiment chaque weekend sur deux, ainsi que par les Déclarations et Communiqués dénonçant toutes violations des Droits de l’Homme, qu’il signe régulièrement au nom de ses structures, Boga Sako Gervais n’a eu de cesse de défendre ses convictions et ses positions en faveur du Président Laurent Gbagbo et du Ministre Charles Blé Goudé, jusqu’à leur acquittement définitif à la Cour pénale internationale (CPI) et leur libération totale ; il a toujours défendu la souveraineté de la Côte d’Ivoire son pays et prôné l’autodétermination de l’Afrique son continent, en dénonçant l’impérialisme occidental.
Boga Sako Gervais a pris la décision de renter d’exil, quelques semaines après le retour historique et victorieux en Côte d’Ivoire de l’ex Président ivoirien Laurent Gbagbo qui a eu lieu le 17 juin 2021.
LE MESSAGE DU PRESIDENT-FONDATEUR AUX FIDHOP :
L’Être humain est une créature de Dieu ; il est créé à l’image de DIEU.
Le bien-être de l’Être humain doit constituer la finalité de tout projet social et le respect des Droits de l’Homme doit représenter l’essentiel de tout développement.
Les préoccupations de l’Être humain, notamment les Droits de l’Homme, doivent être au centre des programmes et des actions politiques.
Or, les Droits de l’Homme ne peuvent être aisément garantis et protégés que dans l’Etat de droit, gouverné selon des normes démocratiques.
C’est pourquoi, en réponse aux déviations et au dépérissement de la vie politique constatés dans la plupart des Etats africains, qui se caractérisent par des violations massives et gravissimes des Droits de l’Homme,
Il est créé LA FONDATION IVOIRIENNE POUR L’OBSERVATION ET LA SURVEILLANCE DES DROITS DE L’HOMME ET DE LA VIE POLITIQUE ; en abrégé : FIDHOP.
(Préambule des Statuts de la FIDHOP)
Ces paroles, que j’ai transcrites dans l’avion qui me ramenait de mon premier Pèlerinage en Terre Sainte, en Israël, en Novembre 2008, traduisent à la vérité ma conception profonde des Droits de l’Homme et elles constituent le fondement de toute ma conviction et de mon engagement à défendre les droits de tout Être humain.
C’est à cette aventure merveilleuse et passionnante d’Humaniste – mais bien périlleuse parfois, face aux adversités de l’inhumanité – que je vous invite.
Notre ambition de changer le monde pour le rendre meilleur doit nous rendre invincibles !
ET DIEU NOUS Y AIDERA…
LES RESPONSABLES DE LA FIDHOP PAR PAYS :
Les pays Les Présidents et Représentants
– La FIDHOP-ITALIE : Emmanuel YAO (1) ; Jean LATH (2) ; Jean-Baptiste KANON Liazaré
– La FIDHOP-FRANCE : Marie-Thérèse LEMARCHAND (1) ; Mathias NEHAN
– La FIDHOP-ROYAUME-UNI : Jean LATH
– La FIDHOP-BELGIQUE : Anne-Sylvie GNABEHI
– La FIDHOP-SUISSE : Germain AKESSE
– La FIDHOP-SCANDIVANIE (Danemark/Suède) : Théodore GBOUABLE
– La FIDHOP-ALLEMAGNE : Claude GBOCHO (1) ; Alcide NIBO (2) ; Raoul GBAHI Séry
– La FIDHOP-TUNISIE : Ange Christopher SERI SOKA
– La FIDHOP-MEXIQUE : Danielle SOPI YAPI
– La FIDHOP-CANADA : Justin DJEDJE Lorougnon
* Section de Toronto : Yolande AYI
* Section de Grand Nord Ontario : Justine GOGOUA
* Section de Montréal : Désirée EPONON
* Section de Sudbury : Georges KPAZAÏ
* Section de Ottawa : Jonas KOBRI
* Section de Alberta : Luc BAÏ
– La FIDHOP-ETATS-UNIS : Alfred BABO (1) ; Laurent ADJEHI Daman
– La FIDHOP-NIGERIA : Olivier ZAHI Zabo
– La FIDHOP-MAURITANIE : Benjamin TETCHI Ayi Tchimou
– La FIDHOP-AUSTRALIE : Armand KONE
PORTE-PAROLE DE LA FIDHOP CÔTE D’IVOIRE ET AFRIQUE : Saturnin GAUDET
PORTE-PAROLE-ADJOINT CÔTE D’IVOIRE ET AFRIQUE : Mireille KIPRE
PORTE-PAROLE DE LA FIDHOP EUROPE ET AMERIQUES : Jules Marius LATTA
PORTE-PAROLE-ADJOINT EUROPE ET AMERIQUES : Justin DJEDJE